Publié le 06/04/2007
Certaines avancées récentes de la bio médecine ont fait progresser le diagnostic prénatal, rendu possible le diagnostic préimplantatoire et laissent entrevoir le clonage thérapeutique et même reproductif.
Des manipulations génétiques et les recherches sur les cellules-souches font espérer des guérisons jusqu’ici impossibles de certaines maladies.
Or, un des enjeux majeurs de ces « progrès » concerne la nature même de l’homme en tant que Personne. Cette question est d’autant plus pressante qu’à l’heure actuelle des conceptions divergentes de la Personne s’affrontent.
Ces dernières affleurent déjà dans des textes officiels : déclaration universelle de l’U.N.E.S.C.O. sur le génome humain (1997), Déclaration des Droits de l’Homme et la bio médecine du Conseil de l’Europe (1999), Déclaration de l’ O.M.S sur la recherche biomédicale.
Un enjeu supplémentaire de nature économique se manifeste notamment dans l’adoption de prise de position juridique, qui consacrerait la brevetabilité du vivant.
Biotechnologies médicales, une autre conception de la personne
Prise de position sur la bioéthique
